Une place stratégique dans le contrôle des mers et des routes maritimes
Ces territoires ultramarins accueillent des bases militaires permanentes qui permettent à la France de jouer un rôle géopolitique sur tous les continents. Ces territoires nous confèrent une place stratégique dans le contrôle des mers et des routes maritimes, nous donnent la possibilité d’intervenir rapidement aux quatre coins de la planète et nous offrent la deuxième zone économique exclusive (ZEE) du monde.
Section des Ressources Documentaires
Article / Vidéo / Publication 1 :
- Les territoires ultramarins : des fenêtres françaises sur le monde
- Source : [source de l’article]
- Date de Publication : My maxicours
- Résumé : Un peu de géographie et d’économie de base sur ces territoires
- Lien vers la Ressource : https://www.maxicours.com/se/cours/les-territoires-ultramarins-des-fenetres-francaises-sur-le-monde/#:~:text=Ainsi%2C%20les%20territoires%20ultramarins%20contribuent,l%27industrie%20d%27extraction.&text=La%20ZEE%20française%20regorge%20de%20ressources%20naturelles%20encore%20peu%20exploitées.
- Les outre-mer au coeur de la stratégie maritime nationale
- Source : Rapport d’information n° 546 (2021-2022), déposé le 24 février 2022
- Date de Publication : Senat (Rapports d’information)
- Résumé :
- Alors que la France, deuxième espace maritime mondial, s’est dotée en 2017 d’une stratégie censée donner un cadre et un cap à son ambition maritime, notre pays valorise encore peu son immense potentiel situé à 97 pour cent dans ses outre mer.
- La Délégation sénatoriale aux outre mer présidée par Stéphane Artano (RDSE – Saint Pierre et Miquelon) a confié à Philippe Folliot (Union Centriste Tarn), Annick Petrus (Les Républicains Saint Martin) et Marie Laure Phinera Horth (RDPI Guyane) la mission d’évaluer notre stratégie maritime nationale dans la perspective de la prochaine stratégie maritime 2023 2029.
- Les rapporteurs pointent le paradoxe d’une stratégie indissociable des espaces océaniques ultramarins mais qui peine à reconnaître, intégrer et associer pleinement les outre mer à la hauteur de leurs apports réels. Ils jugent indispensables de changer radicalement d’approche et de bâtir la puissance maritime française sur ses atouts ultramarins, en replaçant vraiment les outre mer au coeur de la stratégie maritime nationale.
- Au lendemain du premier Sommet mondial de l’Océan à Brest, ils estiment nécessaire de crédibiliser notre souveraineté maritime mise à mal sur ses zones économiques exclusives en rehaussant les moyens de la Marine nationale et en faisant de la stratégie maritime un moteur de l’insertion des outre mer dans l’économie mondiale.
- Leur rapport présente ainsi 40 propositions afin de préparer l’avenir océanique de la France et relever les défis d’un XXIe siècle assurément maritime.
- Lien vers la Ressource : https://www.senat.fr/rap/r21-546/r21-546_mono.html
- Les zones économiques exclusives ultramarines : le moment de vérité
- Source : Senat (Rapports d’information)
- Date de Publication : Rapport d’information n° 430 (2013-2014), déposé le 9 avril 2014
- Résumé :
- La convention de Montego Bay signée le 10 décembre 1982, véritable « constitution des océans », accorde aux États côtiers des droits exclusifs sur l’exploitation des ressources situées jusqu’à 200 milles des côtes. Avec une zone économique exclusive (ZEE) de 11 millions de km2, dont 97 pourcents est située outre-mer, la France est potentiellement l’une des grandes gagnantes de cette nouvelle donne. D’autant que l’exploitation des ressources minérales profondes est en passe d’entrer en phase industrielle et que les mers apparaissent tout à la fois comme un gisement de denrées alimentaires, d’énergies fossiles et renouvelables ainsi que d’innovations technologiques pour le 21ème siècle qui commence.
- La course aux ressources marines est d’ores et déjà amorcée : les convoitises s’exacerbent et la compétition entre les États s’accélère, du Pacifique à Saint-Pierre-et-Miquelon en passant par la Guyane ou le canal du Mozambique dont la ZEE française représente près des deux tiers.
- Pourtant, notre pays semble n’avoir paradoxalement pas pris la mesure des bouleversements intervenus ces dernières années. Il en est encore au stade des incantations alors que l’heure de vérité a sonné. Les enjeux en termes de croissance et de développement durable et responsable sont considérables pour la France et ses outre-mer, les premiers concernés, ainsi que pour l’Europe. Une stratégie d’ensemble bénéficiant enfin d’un véritable pilotage politique doit être engagée aujourd’hui.
- Lien vers la Ressource : https://www.senat.fr/rap/r13-430/r13-4308.html
Section Analyse et Discussions
Points Clés et Observations :
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Conclusion de l’Atelier
[Conclusion ou Mise à disposition des lecteurs(rices)]
Informations Complémentaires
Références :
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Contributeurs :
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